On pourrait croire que ce sont des larmes

GENETET Éric

Julien, photographe de quarante-deux ans, vit seul Ă  Paris. Fils unique, Il entretient des rapports distendus avec sa mĂšre, qui vient de s’installer Ă  ArgelĂšs-sur-mer Ă  soixante-dix-sept ans. C’est lĂ  que Julien passait ses vacances avec ses parents jusqu’à l’ñge de huit ans, quand son pĂšre les a brusquement abandonnĂ©s. Un message inquiĂ©tant d’un voisin de sa mĂšre l’oblige Ă …

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