Magie blanche. (Niklos Koda ; 7.)

Suite et fin de l’épisode commencé au tome précédent (Magie Noire, N.B. déc. 2004) qui a conduit le beau et impassible Niklos au Caire où a lieu un festival de magie, réunissant les plus grands maîtres, notamment le numérologue Kandar. Niklos le soupçonne d’avoir, avec la complicité de sa superbe assistante, envoûté à Paris un diplomate pour qu’il assassine un politicien lors d’un dîner au restaurant. Les deux magiciens s’affrontent dans une lutte à mort qui coûtera la vie à Valentina, la fiancée de Niklos.

Ce duel à coup d’armes mentales est intrigant et l’épilogue conclut l’album par une note d’émotion bienvenue qui humanise la personnalité excessivement flegmatique du héros. Le dessin réaliste reste toujours impeccable d’élégance et de lisibilité. Une aventure plaisante pour les amateurs de surnaturel et maléfices.