Les cadavres n’ont pas froid aux yeux

JAPP Andrea H.

HĂ©lĂšne, femme de caractĂšre, dĂ©couvre un beau matin sur la table de travail de son laboratoire de recherches la tĂȘte d’un de ses collĂšgues qu’elle mĂ©prisait cordialement. OĂč est passĂ© le corps ? Elle appelle Ă  la rescousse ses meilleures amies de toujours, d’autant plus que d’autres cadavres apparaissent bientĂŽt.

 

C’est plus une comĂ©die de moeurs qu’une intrigue policiĂšre que propose ici Andrea H. Japp, reprenant la mĂȘme Ă©quipe fĂ©minine qu’elle avait mise en avant dans Cinq filles, trois meurtres mais plus de volant. TrĂšs diffĂ©rentes les unes des autres, fĂ©ministes, indĂ©pendantes, dĂ©voreuses de vie, animĂ©es par l’affection sans faille qu’elles se portent les unes aux autres, les cinq amies, devenues six, dĂ©livrent de-ci delĂ  quelques messages d’humour et de joie de vivre, sans grande nouveautĂ© ni originalitĂ©.