Le doudou-qui-parle

KESSLER FrĂ©dĂ©ric, GEHIN Élisa

Ce soir LĂ©a n’a pas encore envie de dormir ! Elle entame une conversation avec son doudou-qui-parle. Il a besoin lui aussi d’ĂȘtre rassuré ; « Est-ce que je sens le doudou ? » , « Est-ce que je suis trĂšs doux ? » ..Doudou n’arrĂȘte pas de poser des questions Ă  LĂ©a sur son existence, son choix. LĂ©a  va – t-elle rĂ©pondre Ă  toutes ces questions ? Elle sera peut ĂȘtre endormie avant
..

L’importance du doudou pour l’enfant est bien abordĂ©e. L’angoisse de l’enfant est sous-jacente, mais on parle de celle du doudou ! Est-il Ă  la hauteur de ce qu’on attend de lui ? Pourquoi lui et pas un autre ? L’illustration sur fond noir (comme la nuit, la peur) repose sur trois couleurs dominantes : le rouge, le bleu et le blanc. Les dessins gĂ©omĂ©triques en aplats sont un peu froids par rapport Ă  la douceur du rĂŽle du doudou  et Ă  l’intimitĂ© qui le lie Ă  l’enfant.