La princesse et le chaudron

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Dans le village des Sept-Hibous vivaient un meunier et une meunière. Une année le grain vint à manquer, le climat se détériora… et l’histoire se poursuit dans la forêt. Ses parents ayant couru trop vite, l’un poursuivant l’autre, la fille du couple s’y perd. Une vieille femme vient à son secours et lui donne des conseils judicieux. Arrivée dans le château d’un roi dont elle épouse le fils, elle retrouve ses parents,  toujours courant l’un derrière l’autre.

Ce conte enlevé, facile à lire, a été écrit en 1854 par des auteurs qui ne sont pas passés à la postérité. Les illustrations, sans doute traitées par ordinateur, et rappelant les chromos de la fin du XIXe siècle, semblent figées et comme envahies de personnages et d’animaux fantastiques, baroques, étranges et sans grand rapport avec l’histoire. Un ensemble déconcertant.