La femme traversante

CHUANG Hua

« Elle consulta sa montre au cadran d’or tout rond, aux fins chiffres ronds, que Dyadya avait achetĂ©e lors de vacances Ă  GenĂšve Ă  l’étĂ© 1938. Â» L’incipit de La Femme traversante donne la presque totalitĂ© des dĂ©tails factuels du roman. Deux histoires s’y entremĂȘlent. Celle d’une famille chinoise aisĂ©e menĂ©e par Dyadya, le pĂšre patriarche, qui rĂšgne sur sa maisonnĂ©e. Ils…

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