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Il ne faut pas confondre faiblesse et fragilité, c’est ainsi que l’auteur annonce la couleur de son essai ; en psychanalyse, dit-il, la fragilité est inévitable car c’est en elle seule que l’homme trouve la puissance d’aimer et d’agir. L’homme moderne cherche à être à chaque instant à son maximum, au risque de s’épuiser et de rester insatisfait. S’il acceptait la fragilité de se savoir en recherche permanente, il approcherait du bonheur.
Jean-Claude Liaudet, psychanalyste et psychosociologue se réfère à Lacan, Freud, employant, pour bien se faire comprendre et démontrer sa thèse, un langage bien spécifique et difficilement intelligible à celui qui n’en est pas familier. Au lecteur intéressé de tirer le meilleur parti de ce qui lui est accessible.