Croire : sur les pouvoirs de la littérature

AUGIER Justine

La littérature conserve ce qu’on voudrait ou pourrait oublier, elle est l’arme contre l’oubli et l’oubli politique, l’auxiliaire de la résistance. Les textes des morts permettent aux survivants de parler aux fantômes, aux victimes disparues, telle Razan Zaitouneh, jeune avocate, opposante syrienne au régime de Bachar el-Assad : ses mots continuent à mener le combat interdit. Ils font aussi revivre la pluralité…

Ce contenu est réservé aux abonnés

Je me connecte

S'inscrire | Mot de passe perdu ?

Pas encore de compte ?

Je m'abonne