Recueil de gravures anciennes “détournées en dérision” par des sous-titres malins, absurdes, parfois morbides mais toujours bêtement drôles.
Plus qu’une BD, ce livre est une promenade jouissive dans des illustrations d’un autre âge ainsi que dans l’esprit saugrenu de Benjamin Le Boucher.
Actuaire le jour, il s’adonne le soir à sa passion du pillage d’estampes sur Instagram (@estampillage). Une mine que les éditions Lapin ont eu la bonne idée d’imprimer sous forme de recueil de cartes postales détachables, donc celui-ci est le second tome.
(OT)
