Spaghetti brothers ; 15

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Série prolifique, d’origine italienne, contant sur le mode parodique, au coeur du New-York maffieux des années vingt, les mésaventures outrancières, truculentes et immorales d’une famille italienne typique, les Centobucchi. De courtes mésaventures en quelques planches au rythme endiablé, à raison de quatre à cinq par tome.  Dans ce tome, le seul à peu près honnête homme de la famille, le père Franck, a la vedette. Tandis que les familles se déchirent, Roméo et Juliette s’aiment. Vont-ils bientôt se suicider ? – Et bien non ! – Le prêtre est là avec ses confessions, ses coups de poing et ses gros mensonges. Il va sauver la situation…Quatre autres récits de la même veine mettent en scène des personnages improbables dans des situations fabriquées. Ils sont croqués à gros trait, souvent en gros plan, dans une mise en page souvent en gaufrier, avec beaucoup d’aplats noirs. Cette réédition est mise en couleur de manière un peu sombre. Il faut aimer les pastiches pour rire de ce monde fou fou fou.