Un jour je t’aimerai

1943 : un pilote automobile résistant est arrêté par la Gestapo, et sa fille est assassinée par deux petits salauds de délateurs ; un bébé est laissé à une nourrice… Vingt ans plus tard, sur fond de twist et de « Platters », Loïc, gueule d’ange et dragueur impénitent, poursuit le rêve de piloter un jour au 24 heures du Mans. Son rival est un fils à papa jaloux et mesquin, doté d’une superbe fiancée ; double défi pour le jeune pilote !!!

Tous ces protagonistes sont réunis par une même passion, l’Automobile, personnage central de ce roman. Le récit survolant avec désinvolture des périodes aussi graves que la Résistance, la guerre d’Algérie, on ne s’étonne pas de la superficialité des personnages et de la vacuité de leurs sentiments. Même les remords, la vengeance, l’amour sonnent creux. Seule la passion pour la belle mécanique est touchante.