Tiburce, le chat qui mit en échec la mafia.

RAGUENEAU Philippe

Sébastien et son épouse Mireille possèdent un chat, Tiburce. Outre son goût pour le confort, celui-ci a une propension à mettre la patte sur des indices matériels qui permettent aux forces de l’ordre de résoudre des énigmes. Ce flair lui vaut une notoriété certaine dans les milieux policiers, décrite à maintes reprises (Tiburce, le chat qui parlait comme vous et moi, N.B. août-sept 1999, Tiburce, le chat qui démasqua l’assassin, N.B. août-sept.2002).

 

Un trafic de drogue entre bandes rivales, des morts brutales, conduisent nos héros de Paris en Provence où la “perspicacité” du félin contribuera à démasquer les coupables. Lecture facile, intrigue sans problèmes majeurs, au point que l’on se demande pourquoi les enquêteurs éprouvent le besoin de donner leur langue au chat.