365 jours.

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Avec ce journal, DSK a choisi de se « confronter à la réalité française, européenne, mondiale » d’une année (mars 2005 – mars 2006). Durant ces douze mois d’une actualité brûlante, il a pris des notes pour commenter les événements, les analyser, préciser ses positions… Il sanctionne sévèrement le gouvernement : usant d’autoritarisme plus que de concertation, celui-ci a contribué à déconstruire la France. DSK incarne la vision moderne, réformiste du socialisme, et veut rendre aux Français la confiance perdue. Déterminé, volontiers polémique, il argumente avec ses convictions, ses valeurs, ses coups de gueule ou de coeur…

Inclus dans une démarche électoraliste, le propos n’évite ni la démagogie ni la critique systématique : la droite a forcément tous les torts ! Mais il peut permettre à ceux qui s’intéressent de près à la politique de revoir ce qui s’est dit et fait dans les instances politiques au fil des événements, durant les crises de ces derniers mois.